Présentation du projet

Le projet OSER, pour Outil de Simulation de systèmes multi-Energies Renouvelables patrimonial, a pour objectif d’accompagner Nantes Métropole vers un approvisionnement 100% renouvelable local pour l’ensemble de son patrimoine énrgétique à l’horizon 2050.

5 entreprises sont membres du consortium créé pour ce projet : Nantes Métropole, comme territoire d’expérimentation ; LLC & Associés et Collectif Energie, pour traiter de l’aspect juridico-économique ; IMT Atlantique, laboratoire académique pour le développement de l’outil ; Akajoule, comme coordinateur du projet par son pôle de Recherche et Développement.

Les premiers pas

En juillet 2025 a eu lieu le premier comité de suivi, depuis le lancement du projet, en mai 2024. Aux côtés de nos partenaires, membres du consortium, nous avons pu présenter les avancés concernant les différents lots du projet :

– La collecte, la structuration et l’exploitation des données énergétiques pour une base fiable par Nantes Métropole et Datajoule

– La scénarisation des trajectoires énergétiques possibles, par Akajoule

– Le développement de l’outil de simulation et d’optimisation, qui permettra de croiser 3 vecteurs : électricité, gaz et chaleur (IMT Atlantique)

– L’aspect juridico-économique pour participer à la structuration des circuits courts de l’énergie (LLC & Associés – Collectif Energie)

Ce comité de suivi représente une étape importante de franchie pour l’organisation du projet mettant en avant le caractère interdépendant des volets techniques, économiques, énergétiques et juridiques.

Les prochaines étapes

Dans les mois à venir, tout un travail d’analyse se précise sur les retours des acteurs institutionnels, techniques et académiques par rapport aux premiers résultats obtenus et présentés lors de ce comité de suivi. Cela permettra de continuer à alimenter l’outil de simulation de manière collective pour faire émerger des trajectoires énergétiques crédibles et fiables.

Le financement du projet OSER

OSER est un projet d’innovation qui répond aux critères de sélection du Fonds de Transition Juste. Le projet est donc co-financé par l’Union Européenne, l’ADEME et la Région Pays de la Loire